Un nouveau jeu « écolo » en balade, rando, marche rapide dans la foret de Fontainebleau.
Le joueur comptabilise le nombre de papiers, petits emballages qu’il croise sur son trajet toujours à porter de mains sans dévier de sa route. Il en profite aussi pour les retirer de la forêt…
Mon score du jour , deux jolis emballages, un plutôt sportif la barre énergisante dynamique du champion et celui de la célèbre crêpe « ouah ou ».
2 pour 8,3 km… mon score est donc de 0,24 papier/km.
Encore un bâtiment étonnant de Jean Nouvel.
Expo un peu rapide mais qui reste assez ludique même pour les béotiens, une bonne piqûre de rappel…
Un vrai marronnier cette histoire du 20 Mars au lieu du 21, sauf pour les Cerisiers…
« La grande affaire de l’existence n’est-elle pas d’accepter la compagnie d’autrui ? Impossible de vivre sans, difficile de vivre avec. On ne s’en tire jamais que par un compromis. »
Voici un roman humaniste “Nous étions les Hommes“, une lecture trop facile à priori où se mêle pourtant une intrigue médicale, une réflexion sur le monde brevetable et la gestion de fin de vie autour des maladies neurodégénératives …
Un rythme de film d’action avec une profondeur technique et humaine qui confronte à notre société du brevet, notre besoin de savoir ce qui fait de nous des êtres Humains, doublé de la question sur la gestion de fin de vie dans le couple quand l’Amour se confronte aux maladies neurodégénératives…
« Au final, la plus grande aventure de la vie, c’est de découvrir avec qui la traverser. »
Nous étions les Hommes
Gilles LEGARDINIER
isbn 978-2-266-22035-4 Pocket
Marée basse sur le canal Saint Martin et place de la République…
Souvenir de 2010, qui prend tout son sens en ce jour de commémoration…
A l’époque je trouvais le contraste « intéressant » entre ma fille si petite, assise sous ce si grand symbole si difficile à apprivoiser…
Aujourd’hui, c’est aussi pour elle que je pavoise…
Ce petit d’homme le nez dans le sable m’a rappelé cette image qui m’a fait réfléchir enfant. Ce soldat venu nous rendre cette liberté et mourir sur une plage pour la paix de l’Europe.
Comparaison n’est pas raison mais 71 ans plus tard on meurt toujours sur les plages pour atteindre cette liberté…
Toujours belle
Au bois dormant
Elle répare sa nuit dans mon canapé
Comment la réveiller
Elle y est si apaisée